ement une date de fabrication est mentionnée sur le casque sous la visière.
Elle est présentée sous la forme d’un rond avec la liste des mois et deux chiffres au centre correspondant à l’année de fabrication.
Une flèche pointe sur le mois de fabrication. Exemple ci-contre: juillet 2019.
La durée de vie est stipulée dans la notice.



Vérifiez que le produit comporte bien tous les marquages obligatoires et comme répertoriés dans la notice: marque du fabricant, référence du casque, marque CE...
Une étiquette d'avertissement doit être collée à l'intérieur de la calotte.



Contrôlez la calotte sur les deux faces.
Celle-ci ne doit pas comporter de signes d’usure, de fissures, de craquelures, de traces de marquage…Vérifiez qu’elle est bien uniforme sur toute sa surface.




La marque laissée par l’injection du produit (point d’injection), généralement situé sur le haut du casque, n’est pas un défaut, tout comme d’éventuelles finitions souhaitées par le fabricant pour donner un aspect plus esthétique au produit (aspect brillant, mat…).


Pour être fonctionnel, le casque doit être équipé d'un harnais disposant :
- d'un tour de tête avec un serre-nuque
- d’une coiffe sur laquelle repose la tête.


Vérifiez l’ensemble de ces éléments. Les sangles et les fixations doivent être en bon état, ne pas présenter de coupures, de brûlures, d’effilochement…

Assurez-vous de la bonne fixation de ces éléments sur le casque et du bon fonctionnement du serre-nuque.


Grâce

 au système de réglage, adaptez le tour de tête à votre morphologie en utilisant le serre-nuque (système à picots, à crans, ou plus facilement grâce à un système à molette, selon les modèles).



Vérifiez également la hauteur du port.

Avant d’effectuer votre travail, assurez-vous du bon maintien du casque sur votre tête et que les réglages sont appropriés pour un port confortable.

Avant d’utiliser un casque vérifiez qu’il est adapté à l’utilisation que vous envisagez et qu’il sera efficace contre le risque envisagé. Il existe différentes normes et différentes exigences, obligatoires ou facultatives. Renseignez-vous sur les différentes modèles et leurs caractéristiques.

Ne stockez jamais votre casque derrière la vitre de votre véhicule !
Stockez le sec et propre, à l’abri de la lumière, dans un endroit approprié et ventilé.
Tenez-le éloigné de produits corrosifs, coupants, abrasifs qui pourraient entrer en contact avec le produit et le détériorer.
Ne vous servez pas de votre casque comme d’un tabouret pour vous asseoir!
Ne le laissez pas trainer par terre ou dans un endroit sale et inapproprié.
Conservez-le à l’abri des salissures et de la poussière.

Ne modifiez en aucun cas votre casque.
N’inscrivez pas votre nom sur la calotte ou sur un quelconque élément de sécurité.
N'y apposez pas d'étiquettes autcollantes autres que celles éventuellement fournies par le fabricant.
Vous pourriez endommager la matière et mettre votre sécurité en danger.
Si nécessaire rangez-le après utilisation dans un sachet personnalisé à votre nom.
Pour des questions d’hygiène et de sécurité (historique produit) le casque est à usage personnel, ne le prêtez pas.

Le contrôle visuel est important avant chaque utilisation. Même si le casque ne présente pas de défaut il est impératif de le changer s’il a subi un choc ou s’il est tombé car la structure a pu être endommagée sans signe visible extérieur.

Même si la date de péremption n’est pas dépassée et même si le casque n’a pas subi de chocs, il est conseillé de changer un casque régulièrement surtout s’il est utilisé tous les jours.

Un casque, comme tout EPI , est destiné à réduire le risque d’accident et de blessures.

Le port du casque répond principalement trois objectifs :

1. Protection contre les chutes d’objets :
   
   - Rôle antipénétration : le casque est ici destiné en quelque sorte à renforcer la boîte crânienne.
   
   - Rôle amortisseur : c’est le système de harnais, coiffe…qui permet de réduire les chocs en cas de la chute d’objets.
   
   - Rôle déflecteur : grâce à la forme de la calotte et dans le cas de chute d’objets lourds par exemple,  le but est de faire dévier la trajectoire ;  cela peut permettre de réduire le nombre d’accidents mortels.
    
2. Protection contre les heurts
   Moins spectaculaire le casque permet de réduire les heurts frontaux, latéraux ou occipitaux.
   Il existe néanmoins une norme spécifique pour la protection contre les heurts (EN 812) et concerne les casquettes. Pour autant, une casquette anti-heurt ne dispose pas notamment  de harnais, aussi elle n’apportera jamais la protection apportée par un casque selon l’EN 397 et ne doit jamais le remplacer.
    
3. Autres protections
   Selon les caractéristiques du casque et sa certification, il peut apporter des protections complémentaires : isolation contre le risque électrique, projection de métaux en fusion…

Le traitement polarisé des oculaires permet d'éliminer l'éblouissement provoqué par la réverbération et les reflets (route, eau, neige, verre, pare-brise...).

Il améliore ainsi la vision des contrastes, des couleurs et des reliefs.

Il accentue le confort visuel et diminue la fatigue.

L'eau est une surface fortement réfléchissante. La neige réfracte également fortement les rayons du soleil qui peuvent provoquer, si vous n'êtes pas bien protégé, des brûlures, maux de tête etc.

Ainsi ce traitement est particulièrement conseillé pour les personnes opérant à proximité de plans d'eau (pêche, espaces verts...), en montagne avec la réverbération de la neige, des lacs...